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mars 27, 2024

dsm-firmenich fait don de la collection d'art DSM à la municipalité de Heerlen

Nos histoires

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Le 27 mars, dsm-firmenich a fait don de la collection d'art DSM à la municipalité de Heerlen.

Cette collection extraordinaire, d'une valeur d'environ deux millions d'euros, comprend plus de 500 pièces uniques d'artistes locaux, néerlandais et internationaux.

Le début de la collection

Créée en 1952, la collection d'art DSM est l'une des plus anciennes collections d'entreprise des Pays-Bas.

DSM a lancé cette collection pour soutenir les artistes locaux. Il présente des pièces historiques et contemporaines qui racontent l'histoire de la région où tout a commencé, ainsi que le parcours qui a mené à la multinationale qu'est aujourd'hui dsm-firmenich.

La pièce la plus ancienne de la collection a près d'un siècle et a été offerte par les employés de DSM au conseil d'administration. Le titre de l'œuvre est 'Genius Labor' (1927), représentant deux hommes sur fond de champs étendus, de tours de refroidissement et de bâtiments. Pour le 25e anniversaire de DSM, l'artiste limbourgeois Henri Jonas a été chargé de créer un vitrail sur le thème de l'industrie minière.

 

La durabilité comme thème central

En 2003, la collection s'est élargie à d'autres artistes néerlandais et à des talents internationaux, sur le thème de la durabilité, reflétant l'engagement de DSM en faveur d'un avenir respectueux de l'environnement.

Trois pièces notables de cette période sont à signaler : 

  • Ronin" (1997), du célèbre sculpteur américano-japonais Shickichi Tajirri, qui a vécu et travaillé dans le Limbourg jusqu'à sa mort en 2009. Son 100e anniversaire est célébré au musée Bonnefanten à Maastricht et au musée Van Bommel van Dam à Venlo.
  • 'Continental Drift' (2017), de l'artiste belge Maarten Vanden Eynde. Pour cette œuvre, qui symbolise l'impact écologique de l'humanité, il a prélevé du plastique dans l'océan et l'a fait fondre pour construire une sculpture vibrante sur un globe vintage, représentant le monde couvert de déchets plastiques.
  • Daisy, Last Child of the Woods (2017), de l'artiste et réalisatrice néerlandaise Melanie Bonajo. Dans cette photographie, elle explore l'impact de la technologie et du consumérisme sur l'humanité et le monde naturel, en se concentrant sur le sentiment de vide spirituel.

L'art qui fait parler

Des toiles traditionnelles aux installations d'avant-garde, la collection suscite la conversation et célèbre la créativité dans ce monde.

 

"Nos œuvres d'art ont toujours été un sujet de discussion au sein de notre entreprise. Certains les trouvent ridicules, stupides, voire obscènes. D'autres les trouvent audacieux, joyeux ou pleins d'humour. C'est exactement ce que nous voulons : un art qui fait parler, qui bouscule et qui mène à la discussion et, surtout, au dialogue".

- Catharien Romijn, conservatrice d'art chez dsm-firmenich

La nouvelle maison de la collection

dsm-firmenich a fait don de la collection à la ville de Heerlen, où elle trouvera un nouveau foyer pour la communauté locale et au-delà. SCHUNCK, l'institution culturelle multidisciplinaire de Heerlen, gérera et exposera la collection, afin d'en saisir et d'en transmettre l'histoire. Les premières présentations sont prévues pour 2025, après quoi la collection sera exposée de manière permanente dans le dépôt d'art de SCHUNCK.

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Le texte intégral du communiqué de presse est disponible ici.

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